Bonjour,
Les femmes protégées du cholestérol jusqu'à la ménopause ? Où avez-vous trouvé une telle affirmation ?
Les femmes sont très sujettes au cholestérol car justement il y a tout le contexte hormonal qui est bien plus sensible chez elles que chez les hommes.
Et le cholestérol est étroitement lié aux hormones dont surtout celles de la thyroïde.
La thyroïde a ses symptômes et donc oui elle induit bien des soucis. Mais dès qu'on sait les reconnaitre et que l'on sait qu'il y a un dysfonctionnement thyroïdien, la bonne prise en charge de la maladie, permet une amélioration nette de bien de ces problèmes. Mais encore faut-il avoir un bon médecin qui sache faire le suivi correctement.
Ensuite le reste ce n'est que de l'adaptation.
Pour les surrénales si elles sont aussi mise à mal avec un problème de thyroïde, c'est souvent parce que la maladie thyroïdienne n'a pas été prise au sérieux, pas diagnostiquée assez vite, ou mal prise en charge. Les surrénales ne déraillent pas non plus systématiquement. Mais c'est un risque connu et que donc il faut surveiller.
Le cholestérol peut nuire au système veineux en abimant les veines ou en bouchant les artères. Mais ce n'est pas de l'aspirine qui peut déboucher les artères ou les veines d'un contenu de graisse. L'aspirine permet au sang d'être fluidifié, mais ça n'élimine nullement un taux de cholestérol trop haut.
Pour faire diminuer le cholestérol, il faut que l'organisme l'utilise en fonction des besoins, pour produire l'énergie, entre autre, ou par un taux correct d'hormones T3 puisque elles permettent justement à l'organisme de bruler les sucres et les graisses, mais aussi en limitant l'apport de graisse animal (cela ne veut pas dire les supprimer car elles apportent aussi des éléments nécessaires à l'organisme), ou alors élimination par des statines ce qui n'est pas la meilleur solution, vu les effets secondaires.
Bien sûr que beaucoup de choses peuvent apparaitre quand on regarde ce qui se passe dans une zone. C'est normal et logique puisque du tout début de la création d'une petite cellule, au moment où celle-ci meurt, tout est lié, tout se croise et s'entrecroise. Mais on arrive à faire la part des choses en fonction de ce qu'on peut observer, de ce qu'on connait du fonctionnement d'un organe ou d'une glande, et des symptômes présents ou pas. Parfois ceux qui ne sont pas présents permettent de pencher plus d'un côté que d'un autre + les examens biologiques et radiologiques qui viennent aider aussi à savoir où en est.
Mais il ne faut pas tout prendre au premier degré. Il y a des choses qui correspondent à plusieurs points, oui mais il faut savoir faire le tri en fonction de tout ce qui peut être observé, et pas en fonction d'un seul point regardé.
Avoir du cholestérol, ne dit pas que vos veines et artères sont réellement en danger et qu'il faut prendre n'importe quoi.
Le cholestérol a ses petites habitudes et on sait tout de même comment l'éliminer au mieux sans prendre trop de risques surtout celui de fluidifier le sang à outrance. Un risque d'hémorragie est aussi grave que le risque que peut apporter le cholestérol. Voir l'hémorragie est plus grave, car parfois on ne peut pas en arrêter une.
Donc il y a prévention quand on sait qu'on est sujet à risque, ou que l'on a déjà eu des alertes précises de quelques choses. Mais faire de la prévention sans que rien ne soit mit en avant, cela ne sert pas à grand chose et limite on fait bien pire que bien.
Ca me fait penser au vaccin Gardasil qui est bien plus dangereux que les risques dont il est sensé protéger. Voir :
http://info.france2.fr/sante/cancer-du- ... 28036.html + le site du Docteur Marc Girard qui lui tape bien souvent là où ça fait mal dans les erreurs qui sont faites en médecine.
La prévention personnelle, l'auto-médication mise dans les mains au seul jugement de personnes qui ne connaissent pas forcément comment cela fonctionne peut engendre bien plus de problèmes.
Il faut savoir où se trouve la prévention exactement.
Les médecins disent quand il y a une Hashimoto et une euthyroïdie : "on ne traite pas puisque les taux d'hormones sont corrects".
Or là la prévention est pourtant nécessaire. Car une maladie d'Hashimoto entraine la destruction de zones de la thyroïde et si on ne met pas un peu la thyroïde au repos, les anticorps vont s'amuser, "détruire" très vite la thyroïde, qui elle pour arriver à faire son travail va alors produire goitre et nodule et si c'est déjà fait, il risque d'augmenter de taille et de volume mais aussi dégénérer en cancer. Donc là oui le traitement est du préventif, car on connait la maladie, on connait l'évolution et on connait les risques et les dangers.
Mais faire par exemple une prévention de cure d'iode parce qu'on soupçonnerait une insuffisance du fonctionnement thyroïdien, pourrait faire pire que bien et là pour le coup entrainer une hyperthyroïdie, ou si une Hashimoto était latente, l'iode pourrait alors la faire évoluer rapidement.
On peut tous un jour ou l'autre avoir tel ou tel problème de santé. Mais de là à tenter d'en prévoir vraiment à l'avance, ça me semble un peu de trop. Comme le vaccin contre le cancer du col de l'utérus. Laissez le naturel faire son travail. Bien souvent la nature et le temps arrangent les choses naturellement. Et actuellement on essaye beaucoup trop de contourner la nature et ce n'est, pour moi, pas ce qu'on fait de mieux.
Yeap ici on lit les messages, même quand ils sont longs. Déjà parce qu'il faut modérer les messages et puis que ce qu'une personne dit peut être intéressant à discuter.
Je fais assez souvent moi-même des réponses très longues...........
Mais pas tous les jours non plus, car je ne pourrais pas suivre.
Et je vois que marinellen est d'accord avec moi.